Content list
All contents created on Minecraft Tools

















EFOnuefciEHNFIQDifEahfY9¨hADVIS<IOPDNVNQEBNIHNCVIKQuebILBN djsv
LAH PUTUN DEU RECCETTE D'2 GRENDE MAIREU
Ce soir, c’est avec au cœur l’amour et la fierté de la France que je me présente devant vous.Ce soir, c’est avec au cœur l’amour et la fierté de la France que je me présente devant vous.
La France est une Nation ardente et indépendante. La France, c’est une Nation engagée pour la justice et pour la paix. C’est une voix qui s’élève au-dessus des intérêts particuliers.
La France, mes chers compatriotes, je l’aime passionnément. J’ai mis tout mon cœur, toute mon énergie, toute ma force, à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c’est l’engagement de toute ma vie.
J’aurais voulu, bien sûr, bousculer davantage les conservatismes et les égoïsmes, pour répondre plus vite aux difficultés que connaissent certains d’entre vous. Mais je suis fier du travail que nous avons accompli ensemble. Fier d’avoir restauré avec vous des valeurs républicaines essentielles, comme le principe de laïcité. Fier d’avoir conduit des réformes importantes, pour garantir nos retraites ou mieux aider les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées. Fier d’avoir combattu sans relâche l’insécurité et fait reculer la délinquance. Fier de voir les Françaises et les Français engagés sur les chemins de l’innovation et de l’avenir. Fier surtout d’avoir montré que, contre le chômage, il n’y avait pas de fatalité. Même s’il faut aller beaucoup plus loin, le chômage est au plus bas depuis un quart de siècle. La France tient son rang. La France affirme sa place dans le monde.
Tout cela, c’est grâce à vous, grâce à votre talent, grâce à votre créativité. Grâce aussi, et je le mesure bien, aux efforts considérables que vous avez consentis.
Mes chers compatriotes,
Au terme du mandat que vous m’avez confié, le moment sera venu pour moi de vous servir autrement. Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat. D’une manière différente, mais avec un enthousiasme intact et la même passion d’agir pour vous, je continuerai à mener les combats qui sont les nôtres, les combats de toute ma vie, pour la justice, pour le progrès, pour la paix, pour la grandeur de la France.
S’agissant des échéances électorales, j’aurai l’occasion d’exprimer mes choix personnels. Mais ce soir, et au nom de la confiance que vous m’avez témoignée, je voudrais vous adresser plusieurs messages.
D’abord, ne composez jamais avec l’extrémisme, le racisme, l’antisémitisme ou le rejet de l’autre. Dans notre histoire, l’extrémisme a déjà failli nous conduire à l’abîme. C’est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l’âme de la France dit non à l’extrémisme.
Le vrai combat de la France, le beau combat de la France, c’est celui de l’unité, c’est celui de la cohésion. Oui, nos valeurs ont un sens ! Oui, la France est riche de sa diversité ! Oui, l’honneur de la politique, c’est d’agir d’abord pour l’égalité des chances ! C’est de permettre à chacun, à chaque jeune, d’avoir sa chance. Ce combat, malgré tous les obstacles, et même si je mesure le chemin qui reste à parcourir, il est désormais bien engagé. Il doit nous unir dans la durée. C’est l’une des clés de notre avenir.
Mon deuxième message, c’est que vous devez toujours croire en vous et en la France. Nous avons tant d’atouts. Nous ne devons pas craindre les évolutions du monde. Ce nouveau monde, il faut le prendre à bras-le-corps. Il faut continuer à y imprimer notre marque. Et il faut le faire sans jamais brader notre modèle français. Ce modèle, il nous ressemble. Et surtout il est profondément adapté au monde d’aujourd’hui, si bien sûr, nous savons le moderniser en permanence.
Nous devons poursuivre résolument dans la voie de la réforme, en faisant toujours le choix du travail, de l’innovation et de l’esprit d’entreprise.
Mon troisième message c’est l’Europe.
Lors du référendum, vous avez exprimé vos doutes, vos inquiétudes, vos attentes. Il est vital de poursuivre la construction européenne. Les nationalismes qui ont fait tant de mal à notre continent peuvent renaître à tout moment. Et ce n’est pas seuls que nous ferons face aux bouleversements économiques du monde. La France doit affirmer l’exigence d’une Europe puissance. D’une Europe politique. D’une Europe qui garantisse notre modèle social. C’est notre avenir qui est en jeu. Portons toujours cet idéal et cette volonté.
Mon quatrième message, c’est que la France n’est pas un pays comme les autres. Elle a des responsabilités particulières, héritées de son histoire et des valeurs universelles qu’elle a contribué à forger. Ainsi, face au risque d’un choc des civilisations, face à la montée des extrémismes notamment religieux, la France doit défendre la tolérance, le dialogue et le respect entre les hommes et entre les cultures. L’enjeu : c’est la paix, c’est la sécurité du monde.
De même, il serait immoral et dangereux de laisser, sous l’effet d’un libéralisme sans frein, se creuser le fossé entre une partie du monde de plus en plus riche et des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants abandonnés à la misère et au désespoir. Le devoir de la France, c’est de peser de tout son poids pour que l’économie mondiale intègre la nécessité du développement pour tous.
Enfin, il y a la révolution écologique qui s’engage. Si nous ne parvenons pas à concilier les besoins de croissance de l’humanité et la souffrance d’une planète à bout de souffle, nous courons à la catastrophe. C’est une révolution dans nos esprits tout autant qu’à l’échelle mondiale qu’il faut mener. Pour concevoir un nouveau mode de relation avec la nature et inventer une autre croissance. Avec sa recherche, avec ses entreprises, avec son agriculture, avec l’avance qu’elle a prise dans le nucléaire et les choix résolus qu’elle a faits dans les énergies renouvelables, la France a tous les atouts pour relever ce défi majeur du XXIe siècle.
Mes chers compatriotes,
Vous l’imaginez, c’est avec beaucoup d’émotion que je m’adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n’avez cessé d’habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n’ai cessé d’agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j’aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d’envie d’agir. Cette France qui, croyez-moi, n’a pas fini d’étonner le monde.
Vive la République ! Vive la France !Ce soir, c’est avec au cœur l’amour et la fierté de la France que je me présente devant vous.
La France est une Nation ardente et indépendante. La France, c’est une Nation engagée pour la justice et pour la paix. C’est une voix qui s’élève au-dessus des intérêts particuliers.
La France, mes chers compatriotes, je l’aime passionnément. J’ai mis tout mon cœur, toute mon énergie, toute ma force, à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c’est l’engagement de toute ma vie.
J’aurais voulu, bien sûr, bousculer davantage les conservatismes et les égoïsmes, pour répondre plus vite aux difficultés que connaissent certains d’entre vous. Mais je suis fier du travail que nous avons accompli ensemble. Fier d’avoir restauré avec vous des valeurs républicaines essentielles, comme le principe de laïcité. Fier d’avoir conduit des réformes importantes, pour garantir nos retraites ou mieux aider les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées. Fier d’avoir combattu sans relâche l’insécurité et fait reculer la délinquance. Fier de voir les Françaises et les Français engagés sur les chemins de l’innovation et de l’avenir. Fier surtout d’avoir montré que, contre le chômage, il n’y avait pas de fatalité. Même s’il faut aller beaucoup plus loin, le chômage est au plus bas depuis un quart de siècle. La France tient son rang. La France affirme sa place dans le monde.
Tout cela, c’est grâce à vous, grâce à votre talent, grâce à votre créativité. Grâce aussi, et je le mesure bien, aux efforts considérables que vous avez consentis.
Mes chers compatriotes,
Au terme du mandat que vous m’avez confié, le moment sera venu pour moi de vous servir autrement. Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat. D’une manière différente, mais avec un enthousiasme intact et la même passion d’agir pour vous, je continuerai à mener les combats qui sont les nôtres, les combats de toute ma vie, pour la justice, pour le progrès, pour la paix, pour la grandeur de la France.
S’agissant des échéances électorales, j’aurai l’occasion d’exprimer mes choix personnels. Mais ce soir, et au nom de la confiance que vous m’avez témoignée, je voudrais vous adresser plusieurs messages.
D’abord, ne composez jamais avec l’extrémisme, le racisme, l’antisémitisme ou le rejet de l’autre. Dans notre histoire, l’extrémisme a déjà failli nous conduire à l’abîme. C’est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l’âme de la France dit non à l’extrémisme.
Le vrai combat de la France, le beau combat de la France, c’est celui de l’unité, c’est celui de la cohésion. Oui, nos valeurs ont un sens ! Oui, la France est riche de sa diversité ! Oui, l’honneur de la politique, c’est d’agir d’abord pour l’égalité des chances ! C’est de permettre à chacun, à chaque jeune, d’avoir sa chance. Ce combat, malgré tous les obstacles, et même si je mesure le chemin qui reste à parcourir, il est désormais bien engagé. Il doit nous unir dans la durée. C’est l’une des clés de notre avenir.
Mon deuxième message, c’est que vous devez toujours croire en vous et en la France. Nous avons tant d’atouts. Nous ne devons pas craindre les évolutions du monde. Ce nouveau monde, il faut le prendre à bras-le-corps. Il faut continuer à y imprimer notre marque. Et il faut le faire sans jamais brader notre modèle français. Ce modèle, il nous ressemble. Et surtout il est profondément adapté au monde d’aujourd’hui, si bien sûr, nous savons le moderniser en permanence.
Nous devons poursuivre résolument dans la voie de la réforme, en faisant toujours le choix du travail, de l’innovation et de l’esprit d’entreprise.
Mon troisième message c’est l’Europe.
Lors du référendum, vous avez exprimé vos doutes, vos inquiétudes, vos attentes. Il est vital de poursuivre la construction européenne. Les nationalismes qui ont fait tant de mal à notre continent peuvent renaître à tout moment. Et ce n’est pas seuls que nous ferons face aux bouleversements économiques du monde. La France doit affirmer l’exigence d’une Europe puissance. D’une Europe politique. D’une Europe qui garantisse notre modèle social. C’est notre avenir qui est en jeu. Portons toujours cet idéal et cette volonté.
Mon quatrième message, c’est que la France n’est pas un pays comme les autres. Elle a des responsabilités particulières, héritées de son histoire et des valeurs universelles qu’elle a contribué à forger. Ainsi, face au risque d’un choc des civilisations, face à la montée des extrémismes notamment religieux, la France doit défendre la tolérance, le dialogue et le respect entre les hommes et entre les cultures. L’enjeu : c’est la paix, c’est la sécurité du monde.
De même, il serait immoral et dangereux de laisser, sous l’effet d’un libéralisme sans frein, se creuser le fossé entre une partie du monde de plus en plus riche et des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants abandonnés à la misère et au désespoir. Le devoir de la France, c’est de peser de tout son poids pour que l’économie mondiale intègre la nécessité du développement pour tous.
Enfin, il y a la révolution écologique qui s’engage. Si nous ne parvenons pas à concilier les besoins de croissance de l’humanité et la souffrance d’une planète à bout de souffle, nous courons à la catastrophe. C’est une révolution dans nos esprits tout autant qu’à l’échelle mondiale qu’il faut mener. Pour concevoir un nouveau mode de relation avec la nature et inventer une autre croissance. Avec sa recherche, avec ses entreprises, avec son agriculture, avec l’avance qu’elle a prise dans le nucléaire et les choix résolus qu’elle a faits dans les énergies renouvelables, la France a tous les atouts pour relever ce défi majeur du XXIe siècle.
Mes chers compatriotes,
Vous l’imaginez, c’est avec beaucoup d’émotion que je m’adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n’avez cessé d’habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n’ai cessé d’agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j’aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d’envie d’agir. Cette France qui, croyez-moi, n’a pas fini d’étonner le monde.
Vive la République ! Vive la France !Ce soir, c’est avec au cœur l’amour et la fierté de la France que je me présente devant vous.
La France est une Nation ardente et indépendante. La France, c’est une Nation engagée pour la justice et pour la paix. C’est une voix qui s’élève au-dessus des intérêts particuliers.
La France, mes chers compatriotes, je l’aime passionnément. J’ai mis tout mon cœur, toute mon énergie, toute ma force, à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c’est l’engagement de toute ma vie.
J’aurais voulu, bien sûr, bousculer davantage les conservatismes et les égoïsmes, pour répondre plus vite aux difficultés que connaissent certains d’entre vous. Mais je suis fier du travail que nous avons accompli ensemble. Fier d’avoir restauré avec vous des valeurs républicaines essentielles, comme le principe de laïcité. Fier d’avoir conduit des réformes importantes, pour garantir nos retraites ou mieux aider les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées. Fier d’avoir combattu sans relâche l’insécurité et fait reculer la délinquance. Fier de voir les Françaises et les Français engagés sur les chemins de l’innovation et de l’avenir. Fier surtout d’avoir montré que, contre le chômage, il n’y avait pas de fatalité. Même s’il faut aller beaucoup plus loin, le chômage est au plus bas depuis un quart de siècle. La France tient son rang. La France affirme sa place dans le monde.
Tout cela, c’est grâce à vous, grâce à votre talent, grâce à votre créativité. Grâce aussi, et je le mesure bien, aux efforts considérables que vous avez consentis.
Mes chers compatriotes,
Au terme du mandat que vous m’avez confié, le moment sera venu pour moi de vous servir autrement. Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat. D’une manière différente, mais avec un enthousiasme intact et la même passion d’agir pour vous, je continuerai à mener les combats qui sont les nôtres, les combats de toute ma vie, pour la justice, pour le progrès, pour la paix, pour la grandeur de la France.
S’agissant des échéances électorales, j’aurai l’occasion d’exprimer mes choix personnels. Mais ce soir, et au nom de la confiance que vous m’avez témoignée, je voudrais vous adresser plusieurs messages.
D’abord, ne composez jamais avec l’extrémisme, le racisme, l’antisémitisme ou le rejet de l’autre. Dans notre histoire, l’extrémisme a déjà failli nous conduire à l’abîme. C’est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l’âme de la France dit non à l’extrémisme.
Le vrai combat de la France, le beau combat de la France, c’est celui de l’unité, c’est celui de la cohésion. Oui, nos valeurs ont un sens ! Oui, la France est riche de sa diversité ! Oui, l’honneur de la politique, c’est d’agir d’abord pour l’égalité des chances ! C’est de permettre à chacun, à chaque jeune, d’avoir sa chance. Ce combat, malgré tous les obstacles, et même si je mesure le chemin qui reste à parcourir, il est désormais bien engagé. Il doit nous unir dans la durée. C’est l’une des clés de notre avenir.
Mon deuxième message, c’est que vous devez toujours croire en vous et en la France. Nous avons tant d’atouts. Nous ne devons pas craindre les évolutions du monde. Ce nouveau monde, il faut le prendre à bras-le-corps. Il faut continuer à y imprimer notre marque. Et il faut le faire sans jamais brader notre modèle français. Ce modèle, il nous ressemble. Et surtout il est profondément adapté au monde d’aujourd’hui, si bien sûr, nous savons le moderniser en permanence.
Nous devons poursuivre résolument dans la voie de la réforme, en faisant toujours le choix du travail, de l’innovation et de l’esprit d’entreprise.
Mon troisième message c’est l’Europe.
Lors du référendum, vous avez exprimé vos doutes, vos inquiétudes, vos attentes. Il est vital de poursuivre la construction européenne. Les nationalismes qui ont fait tant de mal à notre continent peuvent renaître à tout moment. Et ce n’est pas seuls que nous ferons face aux bouleversements économiques du monde. La France doit affirmer l’exigence d’une Europe puissance. D’une Europe politique. D’une Europe qui garantisse notre modèle social. C’est notre avenir qui est en jeu. Portons toujours cet idéal et cette volonté.
Mon quatrième message, c’est que la France n’est pas un pays comme les autres. Elle a des responsabilités particulières, héritées de son histoire et des valeurs universelles qu’elle a contribué à forger. Ainsi, face au risque d’un choc des civilisations, face à la montée des extrémismes notamment religieux, la France doit défendre la tolérance, le dialogue et le respect entre les hommes et entre les cultures. L’enjeu : c’est la paix, c’est la sécurité du monde.
De même, il serait immoral et dangereux de laisser, sous l’effet d’un libéralisme sans frein, se creuser le fossé entre une partie du monde de plus en plus riche et des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants abandonnés à la misère et au désespoir. Le devoir de la France, c’est de peser de tout son poids pour que l’économie mondiale intègre la nécessité du développement pour tous.
Enfin, il y a la révolution écologique qui s’engage. Si nous ne parvenons pas à concilier les besoins de croissance de l’humanité et la souffrance d’une planète à bout de souffle, nous courons à la catastrophe. C’est une révolution dans nos esprits tout autant qu’à l’échelle mondiale qu’il faut mener. Pour concevoir un nouveau mode de relation avec la nature et inventer une autre croissance. Avec sa recherche, avec ses entreprises, avec son agriculture, avec l’avance qu’elle a prise dans le nucléaire et les choix résolus qu’elle a faits dans les énergies renouvelables, la France a tous les atouts pour relever ce défi majeur du XXIe siècle.
Mes chers compatriotes,
Vous l’imaginez, c’est avec beaucoup d’émotion que je m’adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n’avez cessé d’habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n’ai cessé d’agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j’aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d’envie d’agir. Cette France qui, croyez-moi, n’a pas fini d’étonner le monde.
Vive la République ! Vive la France !
La France est une Nation ardente et indépendante. La France, c’est une Nation engagée pour la justice et pour la paix. C’est une voix qui s’élève au-dessus des intérêts particuliers.
La France, mes chers compatriotes, je l’aime passionnément. J’ai mis tout mon cœur, toute mon énergie, toute ma force, à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c’est l’engagement de toute ma vie.
J’aurais voulu, bien sûr, bousculer davantage les conservatismes et les égoïsmes, pour répondre plus vite aux difficultés que connaissent certains d’entre vous. Mais je suis fier du travail que nous avons accompli ensemble. Fier d’avoir restauré avec vous des valeurs républicaines essentielles, comme le principe de laïcité. Fier d’avoir conduit des réformes importantes, pour garantir nos retraites ou mieux aider les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées. Fier d’avoir combattu sans relâche l’insécurité et fait reculer la délinquance. Fier de voir les Françaises et les Français engagés sur les chemins de l’innovation et de l’avenir. Fier surtout d’avoir montré que, contre le chômage, il n’y avait pas de fatalité. Même s’il faut aller beaucoup plus loin, le chômage est au plus bas depuis un quart de siècle. La France tient son rang. La France affirme sa place dans le monde.
Tout cela, c’est grâce à vous, grâce à votre talent, grâce à votre créativité. Grâce aussi, et je le mesure bien, aux efforts considérables que vous avez consentis.
Mes chers compatriotes,
Au terme du mandat que vous m’avez confié, le moment sera venu pour moi de vous servir autrement. Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat. D’une manière différente, mais avec un enthousiasme intact et la même passion d’agir pour vous, je continuerai à mener les combats qui sont les nôtres, les combats de toute ma vie, pour la justice, pour le progrès, pour la paix, pour la grandeur de la France.
S’agissant des échéances électorales, j’aurai l’occasion d’exprimer mes choix personnels. Mais ce soir, et au nom de la confiance que vous m’avez témoignée, je voudrais vous adresser plusieurs messages.
D’abord, ne composez jamais avec l’extrémisme, le racisme, l’antisémitisme ou le rejet de l’autre. Dans notre histoire, l’extrémisme a déjà failli nous conduire à l’abîme. C’est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l’âme de la France dit non à l’extrémisme.
Le vrai combat de la France, le beau combat de la France, c’est celui de l’unité, c’est celui de la cohésion. Oui, nos valeurs ont un sens ! Oui, la France est riche de sa diversité ! Oui, l’honneur de la politique, c’est d’agir d’abord pour l’égalité des chances ! C’est de permettre à chacun, à chaque jeune, d’avoir sa chance. Ce combat, malgré tous les obstacles, et même si je mesure le chemin qui reste à parcourir, il est désormais bien engagé. Il doit nous unir dans la durée. C’est l’une des clés de notre avenir.
Mon deuxième message, c’est que vous devez toujours croire en vous et en la France. Nous avons tant d’atouts. Nous ne devons pas craindre les évolutions du monde. Ce nouveau monde, il faut le prendre à bras-le-corps. Il faut continuer à y imprimer notre marque. Et il faut le faire sans jamais brader notre modèle français. Ce modèle, il nous ressemble. Et surtout il est profondément adapté au monde d’aujourd’hui, si bien sûr, nous savons le moderniser en permanence.
Nous devons poursuivre résolument dans la voie de la réforme, en faisant toujours le choix du travail, de l’innovation et de l’esprit d’entreprise.
Mon troisième message c’est l’Europe.
Lors du référendum, vous avez exprimé vos doutes, vos inquiétudes, vos attentes. Il est vital de poursuivre la construction européenne. Les nationalismes qui ont fait tant de mal à notre continent peuvent renaître à tout moment. Et ce n’est pas seuls que nous ferons face aux bouleversements économiques du monde. La France doit affirmer l’exigence d’une Europe puissance. D’une Europe politique. D’une Europe qui garantisse notre modèle social. C’est notre avenir qui est en jeu. Portons toujours cet idéal et cette volonté.
Mon quatrième message, c’est que la France n’est pas un pays comme les autres. Elle a des responsabilités particulières, héritées de son histoire et des valeurs universelles qu’elle a contribué à forger. Ainsi, face au risque d’un choc des civilisations, face à la montée des extrémismes notamment religieux, la France doit défendre la tolérance, le dialogue et le respect entre les hommes et entre les cultures. L’enjeu : c’est la paix, c’est la sécurité du monde.
De même, il serait immoral et dangereux de laisser, sous l’effet d’un libéralisme sans frein, se creuser le fossé entre une partie du monde de plus en plus riche et des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants abandonnés à la misère et au désespoir. Le devoir de la France, c’est de peser de tout son poids pour que l’économie mondiale intègre la nécessité du développement pour tous.
Enfin, il y a la révolution écologique qui s’engage. Si nous ne parvenons pas à concilier les besoins de croissance de l’humanité et la souffrance d’une planète à bout de souffle, nous courons à la catastrophe. C’est une révolution dans nos esprits tout autant qu’à l’échelle mondiale qu’il faut mener. Pour concevoir un nouveau mode de relation avec la nature et inventer une autre croissance. Avec sa recherche, avec ses entreprises, avec son agriculture, avec l’avance qu’elle a prise dans le nucléaire et les choix résolus qu’elle a faits dans les énergies renouvelables, la France a tous les atouts pour relever ce défi majeur du XXIe siècle.
Mes chers compatriotes,
Vous l’imaginez, c’est avec beaucoup d’émotion que je m’adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n’avez cessé d’habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n’ai cessé d’agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j’aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d’envie d’agir. Cette France qui, croyez-moi, n’a pas fini d’étonner le monde.
Vive la République ! Vive la France !Ce soir, c’est avec au cœur l’amour et la fierté de la France que je me présente devant vous.
La France est une Nation ardente et indépendante. La France, c’est une Nation engagée pour la justice et pour la paix. C’est une voix qui s’élève au-dessus des intérêts particuliers.
La France, mes chers compatriotes, je l’aime passionnément. J’ai mis tout mon cœur, toute mon énergie, toute ma force, à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c’est l’engagement de toute ma vie.
J’aurais voulu, bien sûr, bousculer davantage les conservatismes et les égoïsmes, pour répondre plus vite aux difficultés que connaissent certains d’entre vous. Mais je suis fier du travail que nous avons accompli ensemble. Fier d’avoir restauré avec vous des valeurs républicaines essentielles, comme le principe de laïcité. Fier d’avoir conduit des réformes importantes, pour garantir nos retraites ou mieux aider les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées. Fier d’avoir combattu sans relâche l’insécurité et fait reculer la délinquance. Fier de voir les Françaises et les Français engagés sur les chemins de l’innovation et de l’avenir. Fier surtout d’avoir montré que, contre le chômage, il n’y avait pas de fatalité. Même s’il faut aller beaucoup plus loin, le chômage est au plus bas depuis un quart de siècle. La France tient son rang. La France affirme sa place dans le monde.
Tout cela, c’est grâce à vous, grâce à votre talent, grâce à votre créativité. Grâce aussi, et je le mesure bien, aux efforts considérables que vous avez consentis.
Mes chers compatriotes,
Au terme du mandat que vous m’avez confié, le moment sera venu pour moi de vous servir autrement. Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat. D’une manière différente, mais avec un enthousiasme intact et la même passion d’agir pour vous, je continuerai à mener les combats qui sont les nôtres, les combats de toute ma vie, pour la justice, pour le progrès, pour la paix, pour la grandeur de la France.
S’agissant des échéances électorales, j’aurai l’occasion d’exprimer mes choix personnels. Mais ce soir, et au nom de la confiance que vous m’avez témoignée, je voudrais vous adresser plusieurs messages.
D’abord, ne composez jamais avec l’extrémisme, le racisme, l’antisémitisme ou le rejet de l’autre. Dans notre histoire, l’extrémisme a déjà failli nous conduire à l’abîme. C’est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l’âme de la France dit non à l’extrémisme.
Le vrai combat de la France, le beau combat de la France, c’est celui de l’unité, c’est celui de la cohésion. Oui, nos valeurs ont un sens ! Oui, la France est riche de sa diversité ! Oui, l’honneur de la politique, c’est d’agir d’abord pour l’égalité des chances ! C’est de permettre à chacun, à chaque jeune, d’avoir sa chance. Ce combat, malgré tous les obstacles, et même si je mesure le chemin qui reste à parcourir, il est désormais bien engagé. Il doit nous unir dans la durée. C’est l’une des clés de notre avenir.
Mon deuxième message, c’est que vous devez toujours croire en vous et en la France. Nous avons tant d’atouts. Nous ne devons pas craindre les évolutions du monde. Ce nouveau monde, il faut le prendre à bras-le-corps. Il faut continuer à y imprimer notre marque. Et il faut le faire sans jamais brader notre modèle français. Ce modèle, il nous ressemble. Et surtout il est profondément adapté au monde d’aujourd’hui, si bien sûr, nous savons le moderniser en permanence.
Nous devons poursuivre résolument dans la voie de la réforme, en faisant toujours le choix du travail, de l’innovation et de l’esprit d’entreprise.
Mon troisième message c’est l’Europe.
Lors du référendum, vous avez exprimé vos doutes, vos inquiétudes, vos attentes. Il est vital de poursuivre la construction européenne. Les nationalismes qui ont fait tant de mal à notre continent peuvent renaître à tout moment. Et ce n’est pas seuls que nous ferons face aux bouleversements économiques du monde. La France doit affirmer l’exigence d’une Europe puissance. D’une Europe politique. D’une Europe qui garantisse notre modèle social. C’est notre avenir qui est en jeu. Portons toujours cet idéal et cette volonté.
Mon quatrième message, c’est que la France n’est pas un pays comme les autres. Elle a des responsabilités particulières, héritées de son histoire et des valeurs universelles qu’elle a contribué à forger. Ainsi, face au risque d’un choc des civilisations, face à la montée des extrémismes notamment religieux, la France doit défendre la tolérance, le dialogue et le respect entre les hommes et entre les cultures. L’enjeu : c’est la paix, c’est la sécurité du monde.
De même, il serait immoral et dangereux de laisser, sous l’effet d’un libéralisme sans frein, se creuser le fossé entre une partie du monde de plus en plus riche et des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants abandonnés à la misère et au désespoir. Le devoir de la France, c’est de peser de tout son poids pour que l’économie mondiale intègre la nécessité du développement pour tous.
Enfin, il y a la révolution écologique qui s’engage. Si nous ne parvenons pas à concilier les besoins de croissance de l’humanité et la souffrance d’une planète à bout de souffle, nous courons à la catastrophe. C’est une révolution dans nos esprits tout autant qu’à l’échelle mondiale qu’il faut mener. Pour concevoir un nouveau mode de relation avec la nature et inventer une autre croissance. Avec sa recherche, avec ses entreprises, avec son agriculture, avec l’avance qu’elle a prise dans le nucléaire et les choix résolus qu’elle a faits dans les énergies renouvelables, la France a tous les atouts pour relever ce défi majeur du XXIe siècle.
Mes chers compatriotes,
Vous l’imaginez, c’est avec beaucoup d’émotion que je m’adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n’avez cessé d’habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n’ai cessé d’agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j’aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d’envie d’agir. Cette France qui, croyez-moi, n’a pas fini d’étonner le monde.
Vive la République ! Vive la France !Ce soir, c’est avec au cœur l’amour et la fierté de la France que je me présente devant vous.
La France est une Nation ardente et indépendante. La France, c’est une Nation engagée pour la justice et pour la paix. C’est une voix qui s’élève au-dessus des intérêts particuliers.
La France, mes chers compatriotes, je l’aime passionnément. J’ai mis tout mon cœur, toute mon énergie, toute ma force, à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c’est l’engagement de toute ma vie.
J’aurais voulu, bien sûr, bousculer davantage les conservatismes et les égoïsmes, pour répondre plus vite aux difficultés que connaissent certains d’entre vous. Mais je suis fier du travail que nous avons accompli ensemble. Fier d’avoir restauré avec vous des valeurs républicaines essentielles, comme le principe de laïcité. Fier d’avoir conduit des réformes importantes, pour garantir nos retraites ou mieux aider les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées. Fier d’avoir combattu sans relâche l’insécurité et fait reculer la délinquance. Fier de voir les Françaises et les Français engagés sur les chemins de l’innovation et de l’avenir. Fier surtout d’avoir montré que, contre le chômage, il n’y avait pas de fatalité. Même s’il faut aller beaucoup plus loin, le chômage est au plus bas depuis un quart de siècle. La France tient son rang. La France affirme sa place dans le monde.
Tout cela, c’est grâce à vous, grâce à votre talent, grâce à votre créativité. Grâce aussi, et je le mesure bien, aux efforts considérables que vous avez consentis.
Mes chers compatriotes,
Au terme du mandat que vous m’avez confié, le moment sera venu pour moi de vous servir autrement. Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat. D’une manière différente, mais avec un enthousiasme intact et la même passion d’agir pour vous, je continuerai à mener les combats qui sont les nôtres, les combats de toute ma vie, pour la justice, pour le progrès, pour la paix, pour la grandeur de la France.
S’agissant des échéances électorales, j’aurai l’occasion d’exprimer mes choix personnels. Mais ce soir, et au nom de la confiance que vous m’avez témoignée, je voudrais vous adresser plusieurs messages.
D’abord, ne composez jamais avec l’extrémisme, le racisme, l’antisémitisme ou le rejet de l’autre. Dans notre histoire, l’extrémisme a déjà failli nous conduire à l’abîme. C’est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l’âme de la France dit non à l’extrémisme.
Le vrai combat de la France, le beau combat de la France, c’est celui de l’unité, c’est celui de la cohésion. Oui, nos valeurs ont un sens ! Oui, la France est riche de sa diversité ! Oui, l’honneur de la politique, c’est d’agir d’abord pour l’égalité des chances ! C’est de permettre à chacun, à chaque jeune, d’avoir sa chance. Ce combat, malgré tous les obstacles, et même si je mesure le chemin qui reste à parcourir, il est désormais bien engagé. Il doit nous unir dans la durée. C’est l’une des clés de notre avenir.
Mon deuxième message, c’est que vous devez toujours croire en vous et en la France. Nous avons tant d’atouts. Nous ne devons pas craindre les évolutions du monde. Ce nouveau monde, il faut le prendre à bras-le-corps. Il faut continuer à y imprimer notre marque. Et il faut le faire sans jamais brader notre modèle français. Ce modèle, il nous ressemble. Et surtout il est profondément adapté au monde d’aujourd’hui, si bien sûr, nous savons le moderniser en permanence.
Nous devons poursuivre résolument dans la voie de la réforme, en faisant toujours le choix du travail, de l’innovation et de l’esprit d’entreprise.
Mon troisième message c’est l’Europe.
Lors du référendum, vous avez exprimé vos doutes, vos inquiétudes, vos attentes. Il est vital de poursuivre la construction européenne. Les nationalismes qui ont fait tant de mal à notre continent peuvent renaître à tout moment. Et ce n’est pas seuls que nous ferons face aux bouleversements économiques du monde. La France doit affirmer l’exigence d’une Europe puissance. D’une Europe politique. D’une Europe qui garantisse notre modèle social. C’est notre avenir qui est en jeu. Portons toujours cet idéal et cette volonté.
Mon quatrième message, c’est que la France n’est pas un pays comme les autres. Elle a des responsabilités particulières, héritées de son histoire et des valeurs universelles qu’elle a contribué à forger. Ainsi, face au risque d’un choc des civilisations, face à la montée des extrémismes notamment religieux, la France doit défendre la tolérance, le dialogue et le respect entre les hommes et entre les cultures. L’enjeu : c’est la paix, c’est la sécurité du monde.
De même, il serait immoral et dangereux de laisser, sous l’effet d’un libéralisme sans frein, se creuser le fossé entre une partie du monde de plus en plus riche et des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants abandonnés à la misère et au désespoir. Le devoir de la France, c’est de peser de tout son poids pour que l’économie mondiale intègre la nécessité du développement pour tous.
Enfin, il y a la révolution écologique qui s’engage. Si nous ne parvenons pas à concilier les besoins de croissance de l’humanité et la souffrance d’une planète à bout de souffle, nous courons à la catastrophe. C’est une révolution dans nos esprits tout autant qu’à l’échelle mondiale qu’il faut mener. Pour concevoir un nouveau mode de relation avec la nature et inventer une autre croissance. Avec sa recherche, avec ses entreprises, avec son agriculture, avec l’avance qu’elle a prise dans le nucléaire et les choix résolus qu’elle a faits dans les énergies renouvelables, la France a tous les atouts pour relever ce défi majeur du XXIe siècle.
Mes chers compatriotes,
Vous l’imaginez, c’est avec beaucoup d’émotion que je m’adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n’avez cessé d’habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n’ai cessé d’agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j’aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d’envie d’agir. Cette France qui, croyez-moi, n’a pas fini d’étonner le monde.
Vive la République ! Vive la France !
by darkmaxime
Sheet
Link
+1 9
-1 26

YaNiVyT2 sign's !
the command:/give @p written_book 1 0 {pages:["[\"\",{\"text\":\"this is a story about \\\"yaniv gaming\\\" \",\"strikethrough\":true},{\"text\":\"channel\",\"strikethrough\":true,\"color\":\"green\"},{\"text\":\"\n1. \",\"color\":\"reset\"},{\"text\":\"yaniv gaming channel is in youtube a channel hebrew ! in the channel there are gaming and games ! only agario & minecraft ! subscribe like & dont forget to share ! \",\"bold\":true,\"italic\":true,\"strikethrough\":true,\"underlined\":true,\"color\":\"dark_blue\"},{\"text\":\"bye!!!!!!!!!! \",\"bold\":true,\"italic\":true,\"strikethrough\":true,\"underlined\":true,\"obfuscated\":true,\"color\":\"dark_blue\"},{\"text\":\"bye <3\",\"color\":\"dark_blue\",\"bold\":true,\"italic\":true,\"strikethrough\":true,\"underlined\":true}]"],title:"My book",author:"http://minecraft.tools/",display:{Lore:["this is a story about \"yaniv gaming\" channel","1. yaniv gaming channel is in youtube a channel hebrew ! in the channel there are gaming and games ! only agario & minecraft ! subscribe like & dont forget to share ! bye!!!!!!!!!! bye <3"]}}
Copy/Paste this text into a Book and Quill (Style only)
if this is not not working say me !
by YaNiVyT2
Sheet
Link
+1 1
-1 18




















Dragon Egg
Check my last recipe to know how to craft the bottle o' enchanting.
by Creeper_Zorbros2
Sheet
Link
+1 11
-1 29

tchoin
la go la c est ptetre un fille bien mais on préfère les tchoin tchoin tchoin
by K_DRAGO
Sheet
Link
+1 3
-1 21
PFR
Yeh-eh, ey
Si no sabes de dónde soy, no me ronquen, no
Si no sabes de dónde soy (si no sabe', si no sabe')
No me ronque (no, no)
Si no sabes de dónde soy, no me ronquen, no
Si no sabes de dónde soy, eh-eh, (ey) eh-eh, (ey, ey, ey)
Yo soy de P fuckin' R (hoo)
Eh-eh-eh-eh-eh
Los maliante' con la r
Prr-prr-prr-prr-prr
Mejor que la boca cierre (shh)
Ah-ah-ah-ah-ah
Antes que los mío' te entierren (ey)
Uh-uh-uh-uh-uh (ey, ey, ey, ey, ey, ey, ey)
Yo soy de P fuckin' R (P fuckin' R)
Eh-eh-eh-eh-eh
Par de loco' con la' R (par de loco' con la' R)
Prr-prr-prr-prr-prr
Mejor que la boca cierre, ey (shh)
Ah-ah-ah-ah
Antes que los mío' te entierren (eh)
Uh-uh-uh-uh-uh (ey, ey)
Cabrón, no te la crea', (no) ey
Que esto es PR, hasta las baby' maliantean, ey (prr, prr, prr)
To' los días se josea, ey (everyday)
En Güirita flow barea, te la vamo' a juquiar (huh)
Yo no necesito prendas pa' brillar (ja)
Muchas pulli no se atreven a tirar pero PR es chiquito y siempre te van a pillar
Cabrón, 'toy crecío', eh-eh (ey, ey)
Me hice millonario ahora tengo lo mío, (me hice millonario) eh-eh
Respetao' en los barrio' y en los caserío', (to' el mundo me quiere) eh-eh
Tu envidia no me afecta, yo estoy bendecío' (yah-oh)
Pero, (let's go) si te pillamos dormío', prra (Austin)
Yo soy de P fuckin' R, R (yah)
Donde yo crecí la vida no vale na', so mejor que no te aferre', -ferre' (La Suite)
También tengo un pana que te mete y no le teme a que la policía lo encierre, -cierre (woh)
Esto es Puerto Rico, lugar de respeto, y se escribe con R, R (ey yo)
Ya son 15 años rompiendo culitos con R (auh)
Que vivan los guerreros en el Barrio Obrero
Donde hay callejones, cientos de crackeros
Llegaron los kilos desde el extranjero
Y ya se acabó el polvo pa' los periqueros (uy)
Adoro mi barrio con sus personajes
Par de prostitutas, maliantes salvajes (ah)
Cambiamos los Honda, ahora son Panameras (wow)
Vengo de una villa que tiene palmeras (yah)
Yo soy la máxima expresión en el callejón (ajá)
Y mi lealtad, eso nunca se quebranta (no)
Mi voz pesa desde niño en este callejón (yah)
A ti solo te la damos por tu garganta (se va, lambón)
Tú habla' mucha mierda pero tú no hace' na' de lo que dice', dice'
Pregúntale a tu gángster favorito y te dirán que si lo dije fue porque lo hice
Yo soy de P fuckin' R (P fuckin' R)
Eh-eh-eh-eh-eh (ah)
Los maliante' con la' R
Prr-prr-prr-prr-prr
Mejor que la boca cierre, ey
Ah-ah-ah-ah
Antes que los mío' te entierren (oye)
Uh-uh-uh-uh-uh (yeh)
La disco está abierta hasta que la R la cierren
En PR, nosotro' arrastramo' la R (rrr)
Dime quién tu erre' (erre')
Pa' los K9 los FR (uh-wuh)
Yo soy de Puerto Rico (yo soy de PR)
Me investigan como narcotraficante porque música trafico (ah, ah)
Salí de la prisión y sin sacar una canción tengo un deal de un millón y pico (en verda' son cuatro)
Tenemos dos drone' encima de tu caserío y sin GPS te ubico (wuh)
Yeh, la 22 'e C como Vico (oye) (ah)
Yo soy de Guanamato, 'tos comíamo' del mismo plato
Y los que matan por mí, yo por ellos mato, ah-ah
Les enseño trucos de perros a gato', y lo tuyo está hablao' hace rato (ah)
Atiéndeme pana
Tú 'tas claro que yo soy de los que, hace lo que me da la gana
Bad Bunny (Bad Bunny)
Arcángel, La Maravilla (Arcángel, pa') (X)
El señor Kendo Kaponi (X)
Yeh, yeh, ah
Todo lo que cuida el cielo tiene su tiempo y su hora (uh)
Austin, baby (Apocalypto) (ah)
Directamente desde La Calma Suite
La casa de Maelo, de Yoti, de Austin, baby
Puerto Rico, one time, dice-dice
La Calma one time, dice
by Simonblaster
Sheet
Link
+1 7
-1 29